• Les PRISONNIERS de GUERRE FRANCAIS

    ARRIVEE STALAG A1

    Lien - http://users.skynet.be/ philippe.constant/ stalag.html

    Les prisonniers de guerre français de la Seconde Guerre mondiale, au nombre

    de 1 845 000, capturés par les Armée du Troisième Reich après la débâcle française pendant la bataille de France durant l'été 1940, furent envoyés dans des camps en Allemagne.

     

    Entrée d'un camp de villégiature.. chez les FRIDOLINS !
    le luxe ? les barbelés !!

     

     

    HOMMAGE à tous NOS AINES, tous ceux qui ont dit NON à l'INACCEPTABLE
    qui ont été faits PRISONNIERS dès 1940 - parqués - comme des troupeaux - embarqués dans des trains - dans les camps, les STALAG, les FERMES, les USINES...
    certains ont même été lachés par les gradés..

     

     

    pour travailler en ALLEMAGNE, enfermés pendant des années.. derrière des barbelés, qui pour la plupart sont revenus...en 1945... et d'autres jamais.
    ..

    La Wehrmacht a fait 1 830 000 prisonniers français lors de la Campagne de France.

    1.600 000 soldats français, sont acheminés dans des camps de prisonniers de guerre en Allemagne

     

     

    CONTEXTE en 1940 - la SIGNATURE des VENDUS

    L’Armistice entre la France et l’Allemagne est signé le 22 juin 1940 à Rethondes entre le général français Huntziger et le général allemand Keitel.

    Un deuxième armistice avec les Italiens, entrés en guerre contre la France
    le 10 juin, est signé deux jours plus tard à Rome.

    Cependant, les troupes allemandes continuent leur progression vers le sud, le long du littoral atlantique et atteignent la frontière espagnole à Saint-Jean-de-Luz,
    le 27 juin.

    La Wehrmacht a fait 1 830 000 prisonniers français lors de la Campagne de France.

    Les soldats et les sous-officiers se retrouvent dans l’un des 56 « Stalags » où ils sont soumis au travail tandis que les officiers français, regroupés dans 14 « Offlags »,

    Les soldats et les sous-officiers travaillent, selon leur emploi précédent, dans des usines ou chez des agriculteurs, ce qui est souvent préférable.

    Tous souffrent de l’éloignement de leur famille et d’une attente continuelle sans savoir quand ils pourront rentrer.

    Les prisonniers ont le droit de recevoir quatre courriers par mois, sur des imprimés spéciaux visés par la censure, ainsi que des colis.

    --------------------------------------------------------------

    Je CITE GUITOU,

    « Chaque mois, nous confectionnons un colis de cinq kilos pour envoyer à mon papa qui est prisonnier »,

    écrit un écolier de 1943.

    « Dans une boîte en carton très résistante, maman range les boîtes de conserve, les légumes secs en sachets pour faire du potage, le tabac ; quelquefois, elle joint des photos qui font toujours plaisir à mon papa qui est si loin

    de nous depuis si longtemps. »

     


    Les soldats prisonniers de la Seconde Guerre mondiale

    Avec la débâcle de l’été 1940, plus d’un million de soldats français se retrouvent prisonniers des forces allemandes, souvent pour quatre longues années.

    Un tiers reste en France, enfermé dans des Frontstalags (50 camps), les deux autres tiers partent en Allemagne, répartis dans des Stalags (camps de base pour la troupe), des Oflags (camps pour officiers) ou des Kommandos (camps de travail).

    Les conditions de détention sont dures (davantage dans les Kommandos que dans les autres), mais n’ont rien à voir avec celles des camps de concentration (camps d’élimination des opposants politiques ou des minorités, juifs, roms…).

    En Allemagne, les captifs remplacent les Allemands partis sur le front pour les travaux de terrassement et pour les travaux agricoles surtout.

    Si le film La Vache et le prisonnier, qui raconte les tentatives d’évasion d’un soldat en captivité dans un Stalag avec la vache dont il a la garde, a connu après-guerre un extraordinaire succès, c’est bien parce qu’il évoque un quotidien que beaucoup avaient vécu.

    Les prisonniers ont le droit de correspondre avec leur famille (sans dire grand chose sur leurs conditions de vie car le courrier est contrôlé). Ils peuvent aussi recevoir des lettres et des colis de France et, pendant les quatre années de guerre, des millions de paquets partent de la France vers l’Allemagne, comme l’évoquait l’écolier cité en introduction.

    Comment retrouver un aïeul prisonnier en 1939-1945 ?

     

     

    Avec la débâcle, les familles restent souvent sans nouvelles d’un père, d’un frère, d’un époux… Un silence qui dure quelques jours, quelques semaines ou plus. Pour répondre à leur inquiétude, des Listes officielles des prisonniers français sont éditées entre le 12 août 1940 et le 15 juin 1941 par le Centre national d’information sur les prisonniers de guerre.

    Cent Listes paraissent, fournissant en moyenne des données sur 10 000 prisonniers chacune, rédigées à partir d’éléments délivrés par les autorités allemandes. Leur contenu a été numérisé et est aujourd’hui disponible sur Internet sur http://www.genealogie.com/prisonniers-39-45

    Même si ces Listes officielles n’étaient pas exhaustives, elles donnent quand même accès à un million de fiches, avec le nom, le prénom, la date et le lieu de naissance du soldat prisonnier, son grade, son régiment, le camp d’internement, et l’image de la page source de l’information, ce qui permet de vérifier les éléments en se reportant aux documents d’origine.

    ---------------------------------------------------------------

    CAMPS d'INTERNEMENTS pour les COLONIAUX " INDIGENES OUBLIES" !
    même leur histoire est inconnue du GRAND PUBLIC !


    pour ne pas "faire tâche" vis à vis de certains !!!

    En avril 1941, on en dénombre 22 en zone occupée qui concernent
    pas moins de
    69 000 prisonniers « indigènes », parmi lesquels
    50 000 Nord-Africains,
    16 000 Sénégalais (incluant des Soudanais, Togolais et Voltaïques) et
    3 000 Malgaches et Indochinois

    L’Allemagne nazie renvoyait les prisonniers de guerre noirs et maghrébins de l’Armée française dans la zone occupée française, le plus rapidement possible par peur de maladies tropicales ou

    d’atteinte à la « pureté du sang aryen ». ( bande de connards ! )

     

     

    Les prisonniers qui dépendent du Frontstalag 222 (Camp du Polo de Beyris) sont soumis au travail forcé (Mur de l’Atlantique, dépôts de munitions, terrassements, travaux forestiers) et répartis en différents kommandos allant d’Hendaye jusque dans les Landes.

    Les conditions d’internement sont très dures : froid, nourriture insuffisante, manque de soins…

    40 de ces prisonniers ont été enterrés au cimetière Louillot d’Anglet,
    102 au cimetière Saint-Léon de Bayonne.

    Les causes de décès sont en majorité dues à la maladie (tuberculose surtout), mais aussi aux tentatives d’évasion ou accidents de travail.

    Dans le cimetière de quelques villages des Landes, des stèles ou plaques commémorent des prisonniers coloniaux qui dépendaient du Frontstalag 222.

    Mais à Bayonne, Anglet ou au quartier Beyris, rien ne rappelle les souffrances endurées par ces prisonniers « indigènes » oubliés.

    Les gardiens de ces camps sont des sentinelles allemandes, souvent anciens combattants de 14-18, et relativement cléments à l’égard des prisonniers.

    A partir de janvier 1943, devant les besoins du front de l’Est, la Wehrmacht mobilise tous ses moyens et le gouvernement français répond favorablement à la demande allemande de faire assurer la garde dans certains frontstalags par des officiers français.

    « Ce transfert crée une situation inédite et suscite des interrogations puisque les anciens officiers français des troupes indigènes deviennent subitement leurs geôliers.

    Ceci accroîtra la démoralisation des prisonniers ainsi que le sentiment d’avoir été trahis au nom d’une raison d’Etat » selon l’historienne Armelle Mabon.

    Le 22 août 1944 le Frontstalag 222 de Beyris est libéré et vidé de tous ses occupants.

    -----------------------------------------------------

     

    NOURRITURE des PRISONNIERS de GUERRE
    DANS LES CAMPS !

    Les prisonniers mangeaient le matin, un quart d'un liquide chaud intitulé café, qui était à base de malt, mais qui pouvait aussi être du jus de gland.
    Le midi ils mangeaient de la soupe épaissie de pommes de terre, betteraves et rutabagas*.
    et parfois des épluchures de pommes de terre !

    ET MAINTENANT dans certaines grandes surfaces ! ces légumes sont tendance !

     

     

    Lien complet - https://fr.wikipedia.org/wiki/Prisonniers_de_guerre_fran%C3%A7ais_de_la_Seconde_Guerre_mondiale

    « Juin 1944 : Mouleydier, un Oradour sur Glane dans le PERIGORD L’engagement des Receveuses des PTT dans la Résistance »
    Partager via Gmail Delicious Pin It

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :