• Le NID DOUILLET ARGENTIN des AIGLES NAZIS

     

     

    le nid douillet argentin des aigles nazis

     

    Ce grand hôtel n'est pas si mystérieux que ça : les fans de cinéma le connaissent bien, puisqu'il fait une apparition dans le dernier X-Men, me souffle mon collègue fan de la série (et de bien d'autres films de série Z, à l'entendre tous les jours ou presque !* ).

      

    Que représente-t-il, de quand date-t-il exactement avec son style imposant, voilà qui questionne en effet. Mieux encore quand on étudie son histoire, qui nous ramène directement au sujet : à Bariloche, il y avait l'une des plus importantes colonies nazies d'Amérique du Sud, logique que l'architecture locale en ait gardé quelque souvenir...

     

    L'île visitée est en effet celle d'Huemul, située dans le sud de l'Argentine, en Patagonie, au milieu du lac Nahuel Huapi, près de la ville de Bariloche, ou habite donc toujours... le nazi échappé. Car c'est là aussi, figurez-vous, qu'il avait été arrêté en 1995 ! De quelle impunité jouit-il, seule la justice italienne le sait : et Interpol aussi, qui n'a pas l'air de beaucoup se remuer pour lui courir après. L'homme a de l'argent (l'or des nazis, encore !) : l'hôtel où on l'a croisé n'est autre que le luxueux Llao Llao (du nom d'un champignon parasite qui se fixe sur les arbres), situé à San Carlos de Bariloche, est un des plus grands du pays et un cinq étoiles bien sûr !

    Ce gigantesque hôtel inauguré le 27 janvier 1938 a été dessiné par l'architecte argentin Alejandro Bustillo et a été entièrement refait en 1993. Il avait été incendié en 1939 et reconstruit en béton, imitant le bois, pour davantage de sécurité.

      

    Comme le note un guide local, sa taille avait de quoi surprendre surtout : "l'hôtel possède 169 chambres, une salle à manger de 500 couverts, une salle de bal, un solarium, et un casino. L'apparition de cet hotel 1938 a changé totalement la physionomie de Bariloche, puisque la ville disposa alors d'une véritable infrastructure de luxe de prestige international. N'oubions pas que dans les années 30, la Patagonie était vide, peu peuplée, déservie d'aucune route asphaltée, et que les hôtels ne disposaient que de quelques chambres. Hotel Llao Llao était donc surdimensionné et pour l'époque, et pour le lieu".

    Qui attendait-on en masse ?

    Quels clients fortunés, juste avant la guerre ?

     

    Autre spécificité de l'ensemble : le mobilier et la décoration dessinés aussi par le même architecte et aidé d'un français, Jean Michel Franck. Ce dernier travaillait à l'époque en Argentine et faisait parti de la société Comte S.A. spécialisée dans la fabrication de mobilier hôtelier. Franck, un proche de Mallet-Stevens qui se suicidera le 8 mars 1941 à New-York, où il s'était réfugié après la défaite française. Il fut à la fois l'intime de Pierre Drieu La Rochelle... et d'Aragon.

      

    Il travaillait en 1940 pour le milliardaire argentin Jorge Born, venu d'Anvers, et Nelson Rockfeller. Born avait fondé avec son beau-frère Ernesto Bunge la société Bunge & Born, dès 1884, et qui dès 1910 contrôlait déjà 80% de l'exportation des céréales du pays. Le groupe se diversifiera dans les années 30 en formant des entreprises de peinture Alba (1925), mais aussi d'engrais avec la Compañía Química, et de textile, avec Grafa (1932), ayant déjà produit de la toile de jute avant-guerre. "Bunge Argentine, Hirsch, et d'autres firmes liées à Bunge et Born ont accumulé des estancias et des plantations de centaines de milliers voire des millions d'acres de terres, dans la région au sol riche des plaines de la Pampa. L'étendue de Bunge et sa domination sur l'économie argentine a été révélée en 1974, lorsque les terroristes Montoneros ont enlevé les héritiers de l'entreprise, Jorge Juan et Born, et les ont détenus pendant plusieurs mois.

      

    Pendant le temps que les frères étaient gardés en captivité, ils ont révélé que Bunge et Born non seulement dominait l'agriculture de l'Argentine, mais aussi que les entreprises de Bunge produisaient 40% de la peinture de l'Argentine, un tiers de ses boîtes de conserve, 20% de ses textiles, etc ". Sous Peron, qu'ils critiqueront ardemment car il voulait s'attaquer à leur emprise sur le pays, leurs affaires devinrent encore plus florissantes pourtant.

    Ils récidiveront sous Carlos Menem, dirigeant quasiment l'économie du pays, grâce aux deux ministres de l'économie Mor Roig et Nestor Rapanelli venus tous droit de chez Bunge. Adroitement, alors que la famille se divisait au seuil des années 1990, la société se déclara en 1994 comme étant... des Bermudes. Aujourd'hui devenue Bunge Limited, elle est dirigée par Jorge Born Jr.

     

    Quant au Llao Llao, d'autres personnalités l'on visité, dont le président américain Dwight D. Eisenhower, en février 1960, invité par le président argentin Arturo Frondizi, Selon le New York Times du 29 Février 1960, "Ike" lui-même s'était déclaré "fatigué par pêche à la mouche", la spécialité du coin, en renvoyant son secrétaire de presse James Haggerty qui lui soumettait une audience supplémentaire par un "avez-vous déjà essayé de pêcher dans un cours d'eau pour deux heures et demie ?"

      

    plutôt surprenant pour un homme d'état, militaire de surcroît. Ike ayant passé le reste de son invitation à jouer au golf sur le parcours du Llao Llao. Eisenhower, était en effet apparemment connu pour passer autant de temps sur les parcours de golf que dans le bureau ovale... note le journal, sarcastiquement. En 1997, Clinton, autre dilettante, y séjournera aussi, en dînant au restaurant grill El Patagon.

      

    Reçu par le vice-président Enrique Villanueva, il n'avait pas été raté par un article vengeur et fort satirique de The Onion , qui se déguste toujours aussi bien 13 ans après...  Les américains semblent toujours avoir eu plein de sollicitude pour ce pays ayant hébergé tant de nazis qu'eux mêmes avaient récupéré lors de l'opération Paperclip. Il est vrai aussi qu'Ike avait rencontré Franco e 1959 en Espagne... l'ancien pourfendeur du nazisme rencontrant un de ses meilleurs supporters... l'histoire a de ces télescopages, parfois !

     

      

    Historiquement, il y a lien, ténu, mais qui a bel et bien existé et il nous ramène à un autre épisode sidérant de cette guerre : Himmler, ce véritable mafieux parvenu à la tête du parti nazi, et le lieutenant Willi Gröbel, le chef du fameux Bureau VI, avaient envisagé de détourner une bonne partie des profits des entreprises allemandes, via du blanchiment d'argent sur les profits réalisés et déclarés, pour leur bénéfice personnel.

      

    Les nazis ponctionnaient leur propre pays, avant de s'attaquer aux autres. Pour y parvenir, ils avaient recruté Friedrich Schwend, qui avait été marchand d'armes dans les années 1920, et vait même vécu aux USA. Un Schwend qui avait aussi et surtout épousé la nièce du ministre de l'extérieur allemand, le baron Von Neurath. Grâce aux relations de famille de sa femme il avait réussi à être nommé en tant qu'administrateur personnel de la richissime famille des... Bunge. C'était un nazi qui était devenu le dépositaire des droits sur la fortune des Bunge.  

      

    Mais Schwend avait déjà été également mouillé dans des détournements de l'American Express en Suisse, et avait travaillé avec les services de Bernard Krüger, qui utilisait déjà des machines Dehomag-Hollertih à cartes perforées pour établir des fiches bancaires falsifiées, faites au camp de Sachsenhausen, par des prisonniers mis à part des autres. Mais ces fameuses machines servaient à autre chose également (à Trieste, en Italie, elles avaient aussi servi au recensement des juifs !).

    Les machines (dont j'ai déjà parlé ici longuement, et dont on découvre chaque jour davantage l'importance !) servirent également à casser le code permettant la génération de numéros de série véritables sur les billets de banque, et surtout elles y réussirent. Selon Adolf Burger, juif slovaque tailleur de talent recruté pour l"opération (tous les tailleurs de précision du camp étaient d'origine juive !), ce sont près de 134 millions de livres sterlings qui avaient ainsi été falsifiées, dont environ 10% suffisamment bien faites pour passer totalement inaperçues, possédant le bon numéro.  

    Au total, en effet, 8 965 080 billets furent produits à Sachsenhausen, pour un montant total de 134 610 810 livres exactement.

      

    C'est Rudolph Blaschke, un autrichien installé en...

    Croatie qui avait indiqué aux autorités suisses que l'auteur des faux papiers était Friedrich Schwend. Ceui-ci résidait alors en Italie, dans une luxueuse villa à Abbazia, près de Fiume. Recruté par l'Abwehr pour espionner la Croatie, il fut renvoyé par les italiens qui le soupçonnaient de faire la même chose sur leur territoire. Schwend fut alors "sauvé" par Gröbel, avec lequel il se lança dans la fabrication de faux billets, au nom du Reich bien entendu ce fut l'Opération Bernhard.

      

    On retrouvera une partie des billets en 1959 au fond du lac Toplitz, près d'Ebensee, grâce à une caméra immergée. A l'Hôtel Enzian à Techendorf, devenu le QG du nazi Globocnik en avril1945 on trouva un véritable trésor en or et de diamants, enterrés juste à côté du bâtiment. Il n'y avait pas que de l'or, chez les nazis, mais aussi de l'argent... en faux billets, et les bijoux volés dans toute l'Europe ! Une partie a-t-elle servi en Argentine ? Très certainement, les billets étant moins lourds à transporter que les barres d'or.

     

    Voilà donc notre nazi croisé un soir au restaurant et réfugié à Bariloche, en Argentine, donc, qui ce nom Bariloche qui vient de la langue des Mapuches, le dérivé du mot Vuriloche, qui signifie "homme de l'autre côté de la montagne", comme beaucoup d'autres sans nul doute. Aujourd'hui, à Bariloche, on peut vivre comme des rois, la région étant très avancée technologiquement : on trouve dans la ville un réacteur nucléaire de recherche, car la ville est aussi le siège entres de recherche de l'INTA et de la CNEA (les équivalents de l'INRA et du CEA français), mais aussi l'internet haut débit, ce qui est déjà plus étonnant, et toute une série d'universités, des écoles et même une station de ski, telle la Cerro Catedral etc. Question paysage, notent les visiteurs, ça oscille entre la Suisse et la Bavière...

      

    logique que cela ait plu à ces centaines de nazis réfugiés dans le secteur. Le lac Nahuel Huapi est situé à une altitude de 750 mètres environ et s'étend sur une superficie de 646 km² (un peu plus que le lac Léman) et présente la particularité d'être un des plus profonds de ce type : il plonge à 480 mètres de profondeur. C'est situé à 1 650 km au sud-ouest de Buenos Aires, comme quoi les nazis avaient largement exploré le pays pour s'établir : c'est bien la preuve ils n'avaient pu le faire dans l'urgence en 1945 seulement. Tout avait été préparé pour les recevoir, et depuis longtemps. A Bariloche, où il n'y avait rien, c'est simple, on avait édifié une ville pour eux, au flanc d'une montagne et au bord d'un lac : une Bavière bis, a-t-on déjà dit. Les nazis avaient déjà construit leur point de chute.

     

     

    Abel Basti, qui habite aujourd'hui Bariloche, en qualité de gestionnaire du parc naturel autour du lac Nahuel Huapi, un des premiers créés au monde, a une idée bien arrêtée et surtout une enquête qui se tient, sur les hauts dignitaires nazis arrivés en masse à partir de 1948, via la fameuse "route des rats".

    Parmi les hauts dignitaires, Basti est pratiquement persuadé qu'il y avait le plus élevé. Selon lui, l'énorme maison visitée par notre chercheur en U-bootologie, située en réalité à Inalco, près de la ville de La Angostura, n'était autre que son habitation ! Or celle-ci, construite selon des plans allemands, appartenait à Jorge Antonio, un proche du dictateur Juan Peron, qui avait comme employé un certain Adolf Eichman. Une villa faite par l'architecte Alejandro Bustillo, elle aussi !!!

    Or Jorge Antonio est décèdé en 2007, l'année qui précède la première visite de notre treckker andin, ce qui expliquerait l'abandon de l'énorme villa, qui s'est beaucoup dégradée depuis la seconde visite de 2009 (les photos récentes la montrent en mauvais état, avec un toit passablement abîmé). Un mauvais point pour ceux qui en faisaient la résidence d'Hitler, refaite en 1993, elle semble désormais à l'abandon. Il était loin le temps des publicités des années 50 pour vanter Bariloche comme une petite Bavière...

    La première résidence argentine utilisée étant l'estancia San Ramon, un ranch tenu par des allemands, de Bariloche, dans le Rio Negro, toujours. Selon l'auteur, un des sous-marins aurait débarqué à Caleta de los Loros, dans la province du Rio Negro, dans le Golfe de Sa Matias, à 140 km de Viedma et à 100 km de Las Grutas,. Le 18 juillet 1945, un rapport de la Marine argentine avait indiqué avoir vu à cet endroit deux sous-marins, ou plutôt deux périscopes. Un navire, l'Escumar, y avait été envoyé pour y balancer des charges de profondeur.

      

    En 1957, un pilote, Mario Chironi, survolant Caleta de los Loros y avait aperçu ce qu'il avait pris pour une épave de navire. Un photographe amateur, Eduardo Frías, l'apercevra lors d'une marée exceptionnelle. Une étude menée en novembre 1996 par Luis Artigas Brochado, du San Antonio Oeste Institute of Marine Biology ne donnera hélas rien. On y distinguera qu'un banc de sable aggloméré noir. Un témoignage retrouvé sur place confirmera l'arrivée d'un sous-marin à environ 1 km du rivage, l'homme l'ayant vu provenant de la estancia Madreselva.

      

    Etait-ce le U-530, qui avait tant tardé à rejoindre Mar del Plata, ou l'U-977, qui avait fait de même ? Ou un troisième et un quatrième, puisque certains semblent avoir un autre sous-marin que ces deux-là, dont l'histoire est connue.

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    Il y a 1 mois - 49 secondes

    L'attaquant argentin s'est une nouvelle fois blessé, mais cette fois-ci, seulement 7 minutes (...)

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    Pour certains, c'est un fait acquis, et l'encombrant "touriste" se serait même enhardi : "ainsi, il a été vu et reconnu dans le Parc national en Cholila et Alerces 1948.

      

    Quatre ans plus tard, il est vu dans la estancia "Vallée de la Huemules" Braun, propriété de Maurice Braun, il visite Comodoro Rivadavia, où il a également été reconnu. En 1953, il sera vu à Mar del Plata près de son ami yougoslave Pavelic.

      

    Trois ans plus tard, ils assistent à une réunion du parti à La Falda, Córdoba, hébergé par le couple Eichhorn, les anciens propriétaires de l'hôtel "Eden". L'année suivante, a visité, à Cervantes (dans le Rio Negro) il rend visite à Albrecht Boehme, à la estancia Santa Cruz, puis à celle de Bella Vista, des conjoints Stipicic, avec vue sur le glacier Perito Moreno. C'est à ce moment, avec 70 ans d'âge, que le poids de la vie a gagné la bataille finale.

      

    L'ami Jacob Boehme, le pilote expert, s'est envolé immédiatement pour le voir" raconte même Raine Golab. Cela peut paraître abracadabrantesque : mais la cavale protégé d'un autre assassin serbe patenté, présent lui aussi dans des mariages et autres visites familiales laisse songeur (et je ne parle pas de celui qui aurait vécu des années à deux pas d'une caserne pakistanaise !)

     

    A Bariloche, véritablement infesté de nazis, au point qu'ils y dressaient leur drapeau sur les écoles ou affichaient leurs swastikas en réunion, derrière un portrait de leur idole, d'autres avaient manifestement débarqué : on y reconnut aussi Edouard Roschmann, devenu Federico Wegener, par la grâce de l'immigration argentine, décriée précédemment, le boucher du ghetto de Riga, venu se faire soigner dans un hôpital au Paraguay pour une infection, ainsi que Walter Rauf, "l'inventeur" du camion à asphyxier pour supprimer les juifs. Il s'en prendra en Afrique du Nord aux tunisiens et persécutera les juifs italiens, s'en prenant en priorité à leur or.

      

    Réfugé en Syrie, puis au Liban, il rejoindra par l'habituelle "route des rats" l'Equateur puis le Chili, pour y devenir un zélé collaborateur d'Augusto Pinochet. Il le fera via l'Egypte, "aidé" par les services secrets israéliens qui souhaitaient plutôt le voir rester en Egypte pour mieux le surveiller. Il mourra au Chili en 1984 seulement, d'un cancer de la langue, âgé de 77 ans. Roschmann avait utilisé le plan de la Croix-Rouge pour partir de Gênes vers l'Argentine, où il avait fondé comme Klaus Barbie en Bolivie une entreprise de bois, et avait même obtenu la nationalité argentine en 1968 ! Il fuira après au Paraguay, pour y mourrir le 10 août 1977.

      

    Ce qu'il y a de plus étonnant dans cette histoire, c'est que sur le bureau d'Edgar Hoover atterriront plein de faxs annonçant Hitler un peu partout, dès 1945, mais que certains avaient déjà localisé l'Argentine et tout un réseau organisé, qui aurait été dans l'attente de le recevoir. L'un d'entre eux daté du 3 août 1945, situe le lieu où il réside "au pied des Andes", ce qui est extrêmement troublant. Car c'est là que se situe... Bariloche !

     

    Basti, lui, n'en démord pas : le 10 mai dernier encore, il s'adressait au gouvernement argentin pour obtenir les documents de l'armée sur l'enquête faite à Caleta de los Loros en 1996 soient communiqués, en des termes plutôt virulents : "la documentation relative à la présence nazie dans le pays depuis les années 40 et pendant le gouvernement de Juan Domingo Perón, est plus que restreinte par une ordonnance de l'ancien président Carlos Menem en 1992, et que l'ancien ministre Nilda Garre l'a ignorée au motif que les renseignements sur la venue des sous-marins nazis était un « secret d'Etat." Si c'en est un, c'est l'un des pires de tous les temps, en tout cas ! Cela ne nous dit toujours pas ce qu'on faisait à Huemul, remarquez : cela, nous le verrons demain, si vous le voulez bien.

    (*) l'impayable Marc, déjà cité ici (il me doit deux bières).

    un documentaire intéressant suit la thèse d'un Hitler possible résident de Bariloche.

    1) http://www.youtube.com/watch?v=6D3n...

    2) http://www.youtube.com/watch?v=7_ZE...

    3) http://www.youtube.com/watch?v=Yh1Z...

    4) http://www.youtube.com/watch?v=uZxA...

    5) http://www.youtube.com/watch?v=8Cyv...

    6) http://www.youtube.com/watch?v=Y4Qg...)

    7) http://www.youtube.com/watch?v=9RzM...

     

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/liberation-52-le-nid-douillet-95411 



     
     
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